Skreen Lab
Agence de transformation digitale

Introduction : Un enjeu sous-estimé par de nombreuses PME

Dans un contexte où la compétitivité des entreprises passe de plus en plus par leur capacité à intégrer le numérique, la digitalisation n’est plus une option : c’est une nécessité.

Pourtant, mal conduite, elle peut devenir un véritable gouffre financier et organisationnel. 😵

Pour les PME de plus de 15 employés, les risques liés à une mauvaise digitalisation sont d’autant plus grands que les ressources sont limitées et les processus internes souvent complexes.

Cet article vise à vous montrer les impacts et les conséquences d’une digitalisation mal pensée et à proposer des pistes d’amélioration concrètes pour démarrer dès maintenant la digitalisation de votre entreprise. 🚀

Introduction : Un enjeu sous-estimé par de nombreuses PME

Dans un contexte où la compétitivité des entreprises passe de plus en plus par leur capacité à intégrer le numérique, la digitalisation n’est plus une option : c’est une nécessité.

Pourtant, mal conduite, elle peut devenir un véritable gouffre financier et organisationnel. 😵

Pour les PME de plus de 15 employés, les risques liés à une mauvaise digitalisation sont d’autant plus grands que les ressources sont limitées et les processus internes souvent complexes.

Cet article vise à vous montrer les impacts et les conséquences d’une digitalisation mal pensée et à proposer des pistes d’amélioration concrètes pour démarrer dès maintenant la digitalisation de votre entreprise. 🚀

I. Les coûts cachés d’une mauvaise digitalisation

Perte de temps et erreurs liées à l’absence d’interconnexion.

Lorsque les outils numériques ne communiquent pas entre eux, les équipes doivent effectuer des tâches manuelles répétitives ou ressaisir des données. Il en résulte une perte de temps, des erreurs et des frustrations.

Mais cela implique surtout un pilotage à retardement. En tant que dirigeant, vous n’avez aucune vision en temps réel de la santé et de l’activité de l’entreprise.

Des dépenses excessives en logiciels mal adaptés.

Une mauvaise évaluation des besoins peut conduire à multiplier les solutions logicielles non connectées entre elles ou inadaptées aux besoins des entreprises, créant des surcoûts importants.

C’est le coût total de possession d’un outil (ou TCO en anglais). Certains coûts sont évidents : les abonnement, la maintenance et les modifications. Mais les coûts cachés peuvent vite devenir démentiels. Parmi ceux-ci, il y a par exemple :

  • Apprentissage : Le temps perdu ou investi dans l’apprentissage du logiciel ou la gestion des problèmes peut impacter lourdement la productivité.
  • Perte de productivité : Si le logiciel est sous-optimal ou mal adapté, il peut réduire la productivité au lieu de l’améliorer.
  • Évolutivité : Les besoins de l’entreprise évoluent, nécessitant parfois des personnalisations ou des développements spécifiques. Si le logiciel n'est pas conçu pour évoluer, cela deviendra un frein à la croissance de l'entreprise et un gouffre financier.
  • Migration : Coût du passage à une version ultérieure ou d’une migration vers une autre plateforme.
  • Arrêt / retrait : Si une solution est abandonnée, il y a des coûts de migration et parfois des pénalités de résiliation.

Non-conformité réglementaire.

Avec des réglementations de plus en plus strictes (RGPD, fiscalité numérique), l’absence de solutions adaptées peut entraîner des amendes lourdes. Selon la CNIL, en 2024, les PME françaises ont payé plus de 9 millions d’euros en amendes pour non-respect des règles de gestion des données personnelles.

Corrélation entre coûts de fonctionnement et volume d’activité aussi appelé dette technique.

Si les logiciels ne sont pas adaptés à l’activité de l’entreprise, cela veut donc dire que c’est les employés qui compensent ce décalage.

Chaque augmentation du volume d’activité se traduit par une hausse proportionnelle des coûts de fonctionnement. Car le décalage augmente en même temps que le volume. Cela empêche toute scalabilité de l’entreprise et limite la capacité de croissance.

I. Les coûts cachés d’une mauvaise digitalisation

Perte de temps et erreurs liées à l’absence d’interconnexion.

Lorsque les outils numériques ne communiquent pas entre eux, les équipes doivent effectuer des tâches manuelles répétitives ou ressaisir des données. Il en résulte une perte de temps, des erreurs et des frustrations.

Mais cela implique surtout un pilotage à retardement. En tant que dirigeant, vous n’avez aucune vision en temps réel de la santé et de l’activité de l’entreprise.

Des dépenses excessives en logiciels mal adaptés.

Une mauvaise évaluation des besoins peut conduire à multiplier les solutions logicielles non connectées entre elles ou inadaptées aux besoins des entreprises, créant des surcoûts importants.

C’est le coût total de possession d’un outil (ou TCO en anglais). Certains coûts sont évidents : les abonnement, la maintenance et les modifications. Mais les coûts cachés peuvent vite devenir démentiels. Parmi ceux-ci, il y a par exemple :

  • Apprentissage : Le temps perdu ou investi dans l’apprentissage du logiciel ou la gestion des problèmes peut impacter lourdement la productivité.
  • Perte de productivité : Si le logiciel est sous-optimal ou mal adapté, il peut réduire la productivité au lieu de l’améliorer.
  • Évolutivité : Les besoins de l’entreprise évoluent, nécessitant parfois des personnalisations ou des développements spécifiques. Si le logiciel n'est pas conçu pour évoluer, cela deviendra un frein à la croissance de l'entreprise et un gouffre financier.
  • Migration : Coût du passage à une version ultérieure ou d’une migration vers une autre plateforme.
  • Arrêt / retrait : Si une solution est abandonnée, il y a des coûts de migration et parfois des pénalités de résiliation.

Non-conformité réglementaire.

Avec des réglementations de plus en plus strictes (RGPD, fiscalité numérique), l’absence de solutions adaptées peut entraîner des amendes lourdes. Selon la CNIL, en 2024, les PME françaises ont payé plus de 9 millions d’euros en amendes pour non-respect des règles de gestion des données personnelles.

Corrélation entre coûts de fonctionnement et volume d’activité aussi appelé dette technique.

Si les logiciels ne sont pas adaptés à l’activité de l’entreprise, cela veut donc dire que c’est les employés qui compensent ce décalage.

Chaque augmentation du volume d’activité se traduit par une hausse proportionnelle des coûts de fonctionnement. Car le décalage augmente en même temps que le volume. Cela empêche toute scalabilité de l’entreprise et limite la capacité de croissance.

II. Les conséquences stratégiques d’une digitalisation mal pensée

Pas de possibilité de déployer de nouvelles solutions

Sans une base de données centralisée et bien structurée, il est quasiment impossible d’intégrer de nouveaux outils ou d’automatiser certains processus.

Cela freine l’innovation et la modernisation de l’entreprise. Et votre entreprise se fera distancer par la concurrence, plus agile dans la saisie d’opportunités.

Aucune exploitation de la valeur des données

Dans un monde où les données sont devenues une ressource clé, ne pas les exploiter, c’est se priver d’un avantage concurrentiel majeur.

Selon McKinsey, les entreprises qui exploitent efficacement leurs données peuvent augmenter leur rentabilité de 5 % à 10 % en moyenne.

Cette exploitation peut être à votre intention : analyse du marché, du fonctionnement interne, optimisation des processus...

Mais elle peut également être une importante source de revenus. Si de part votre activité, vous avez accumulé des informations sur un marché, sur des produits, des tendances... vous pouvez vendre ces données anonymes à d’autre entreprises qui en ont besoin pour leur développement. Vous capitalisez ainsi sur une ressource inexploitée.

Dégradation du service client et perte de compétitivité

Un mauvais suivi des dossiers clients, des délais de traitement allongés ou des erreurs dans les commandes peuvent nuire à l’expérience client. Conséquence : une baisse de fidélité et une perte de parts de marché face à des concurrents mieux organisés.

Uniformisation de l’offre

Les PME qui se contentent d’utiliser les mêmes outils que leurs concurrents risquent d’uniformiser leur offre et de ne plus se différencier. Le numérique devrait permettre d’apporter de la valeur ajoutée unique, et non de reproduire les mêmes processus que tout le monde.

Risques réglementaires

En tant que structure, vous avez une obligation morale et réglementaire vis à vis de vos clients et des données qu’ils vous ont confié.

Vous avez la responsabilité de garder ces données confidentielles et de les protéger. Mais c’est une mission presque impossible si aucune infrastructure organisée n’est capable de les stocker et d’en gérer les accès. 


Cela vous met en risque face aux cyber-attaques, mais aussi sur un plan légal. Pensez à vérifier vos contrats d’assurance qui peuvent vous demander d’avoir pris les précautions nécessaires sur ces sujets pour pouvoir être dédommagés.

II. Les conséquences stratégiques d’une digitalisation mal pensée

Pas de possibilité de déployer de nouvelles solutions

Sans une base de données centralisée et bien structurée, il est quasiment impossible d’intégrer de nouveaux outils ou d’automatiser certains processus.

Cela freine l’innovation et la modernisation de l’entreprise. Et votre entreprise se fera distancer par la concurrence, plus agile dans la saisie d’opportunités.

Aucune exploitation de la valeur des données

Dans un monde où les données sont devenues une ressource clé, ne pas les exploiter, c’est se priver d’un avantage concurrentiel majeur.

Selon McKinsey, les entreprises qui exploitent efficacement leurs données peuvent augmenter leur rentabilité de 5 % à 10 % en moyenne.

Cette exploitation peut être à votre intention : analyse du marché, du fonctionnement interne, optimisation des processus...

Mais elle peut également être une importante source de revenus. Si de part votre activité, vous avez accumulé des informations sur un marché, sur des produits, des tendances... vous pouvez vendre ces données anonymes à d’autre entreprises qui en ont besoin pour leur développement. Vous capitalisez ainsi sur une ressource inexploitée.

Dégradation du service client et perte de compétitivité

Un mauvais suivi des dossiers clients, des délais de traitement allongés ou des erreurs dans les commandes peuvent nuire à l’expérience client. Conséquence : une baisse de fidélité et une perte de parts de marché face à des concurrents mieux organisés.

Uniformisation de l’offre

Les PME qui se contentent d’utiliser les mêmes outils que leurs concurrents risquent d’uniformiser leur offre et de ne plus se différencier. Le numérique devrait permettre d’apporter de la valeur ajoutée unique, et non de reproduire les mêmes processus que tout le monde.

Risques réglementaires

En tant que structure, vous avez une obligation morale et réglementaire vis à vis de vos clients et des données qu’ils vous ont confié.

Vous avez la responsabilité de garder ces données confidentielles et de les protéger. Mais c’est une mission presque impossible si aucune infrastructure organisée n’est capable de les stocker et d’en gérer les accès. 


Cela vous met en risque face aux cyber-attaques, mais aussi sur un plan légal. Pensez à vérifier vos contrats d’assurance qui peuvent vous demander d’avoir pris les précautions nécessaires sur ces sujets pour pouvoir être dédommagés.

III. Les pistes pour réussir sa digitalisation

Réaliser un audit technique complet

Avant de se lancer dans une transformation digitale, il est essentiel de faire un état des lieux précis des outils existants, de leur usage et de leur interconnexion. Cet audit permet d’identifier les points de friction et les améliorations prioritaires.

Adopter une approche progressive et modulaire

Plutôt que de tout changer d’un coup, une bonne pratique consiste à adopter des solutions modulaires, capables d’évoluer avec l’entreprise. Cela réduit les risques et les coûts d’implémentation.

Centraliser les données et connecter les outils

L’une des clés d’une digitalisation réussie est la centralisation des données et l’interconnexion des solutions. Cela permet de fluidifier les processus et d’améliorer la productivité.

Former les équipes

La réussite d’une transformation digitale repose également sur l’humain. Former les équipes à l’utilisation des nouveaux outils et aux bonnes pratiques numériques est indispensable pour en tirer pleinement parti.

III. Les pistes pour réussir sa digitalisation

Réaliser un audit technique complet

Avant de se lancer dans une transformation digitale, il est essentiel de faire un état des lieux précis des outils existants, de leur usage et de leur interconnexion. Cet audit permet d’identifier les points de friction et les améliorations prioritaires.

Adopter une approche progressive et modulaire

Plutôt que de tout changer d’un coup, une bonne pratique consiste à adopter des solutions modulaires, capables d’évoluer avec l’entreprise. Cela réduit les risques et les coûts d’implémentation.

Centraliser les données et connecter les outils

L’une des clés d’une digitalisation réussie est la centralisation des données et l’interconnexion des solutions. Cela permet de fluidifier les processus et d’améliorer la productivité.

Former les équipes

La réussite d’une transformation digitale repose également sur l’humain. Former les équipes à l’utilisation des nouveaux outils et aux bonnes pratiques numériques est indispensable pour en tirer pleinement parti.

Conclusion : Ne sous-estimez pas les risques d’une mauvaise digitalisation

La digitalisation offre aux PME des opportunités considérables en matière de compétitivité, de productivité et d’innovation. 🚀

Mais une mauvaise stratégie ou une mise en œuvre bâclée peut générer des coûts démentiels et compromettre la pérennité de l’entreprise. Avant de se lancer, il est essentiel de bien réfléchir à ses besoins et de se faire accompagner par des experts capables d’apporter un regard objectif et des solutions adaptées.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la manière dont nous pouvons vous aider à réussir votre transformation digitale, n’hésitez pas à nous contacter pour un session stratégique offerte.

Conclusion : Ne sous-estimez pas les risques d’une mauvaise digitalisation

La digitalisation offre aux PME des opportunités considérables en matière de compétitivité, de productivité et d’innovation. 🚀

Mais une mauvaise stratégie ou une mise en œuvre bâclée peut générer des coûts démentiels et compromettre la pérennité de l’entreprise. Avant de se lancer, il est essentiel de bien réfléchir à ses besoins et de se faire accompagner par des experts capables d’apporter un regard objectif et des solutions adaptées.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la manière dont nous pouvons vous aider à réussir votre transformation digitale, n’hésitez pas à nous contacter pour un session stratégique offerte.

FAQ

Quelles alternatives privilégier pour réduire le nombre d’abonnements ?

Les solutions tout-en-un, comme les ERP ou les CRM intégrés, permettent de centraliser plusieurs fonctions dans un seul outil. Les solutions sur-mesure peuvent aussi être une très bonne solutions aux nombreux abonnements logiciels.

Comment identifier les outils sous-utilisés ?

Analysez les rapports d’utilisation des outils, consultez vos équipes et dressez un inventaire régulier.

Pourquoi est-il important de limiter le nombre d’outils numériques dans une PME ?

Accumuler trop d’outils alourdit les processus, augmente les coûts et peut créer des silos de données, nuisant à la productivité globale.